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Mort des radios musicales


Invité La grande faucheuse

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Invité La grande faucheuse

Certains dans le milieu de la radio donnent la fin de la FM "Radios Musicales" d'ici 3 à 5 ans.

Je pense qu'ils n'ont pas tord, les gens écoutent de moins en moins la bande FM pour plusieurs raisons, déjà les chaines hifi n'existent quasiment plus! ensuite la venu des plateformes de selfmusiques nous offrent un large choix musical "et sans pubs"

Tu branches ton câble de téléphone dans ta voiture hop tu va sur Deezer ou autres et tu fais ta playlist facile! Attendez ce n'est pas tout! Oh la! sur notre bonne et vieille bande FM, il y a trop de pubs et surtout plus aucunes surprises tant sur la programmation qu'avec les animateurs...

Non plutôt accompagnateurs car l'animateur n'existe plus!!

Donc si d'ici 5 ans la FM sera obsolète vers qu'elles options les futurs generations se tourneront ? les plateformes ? c'est déjà le cas, mais il y aura quoi de plus que de la musique sur ces plateformes ?

Du podcast ? très bien mais podcaster quoi ? avez -vous une idées ? ce serait intéressant de débattre de cela.

Ce chère Mathieu Gallet " un homme un peu décorateur, un peu styliste" à flairé le coup avec son projet Majélan d’ailleurs  La «révolution podcast» a un effet de bord inattendu : Michel Drucker va lire du Maupassant pour Mathieu Gallet, mais la vieux croûton de France 2 n'y va pas seul, à ses cotés Laurence Ferrari, PPDA et même le Toulousain Léo Matei Reichmann si colle.

Voila je pense que l'avenir, l'après FM ce sera ça.

A vos claviers parlons en...

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Il ya déjà pas mal de podcasts sur Spotify, bien sur des podcasts qui ne proviennent pas de la radio. Mais il y a quand même des podcasts radios comme ceux de Skyrock

Quand a l'avenir des radios musicales... il n’y a qu'en prenant des risques en changeant les formats que l'audience ne dégringolera pas trop vite, oser diffuser autre chose que Aya Nakamura, Gims et autres que l'on entend 20X par jours. Mais faire revenir les anciens auditeurs qui se sont détournés vers les plateformes de streaming ça va être compliqué, surtout les jeunes ils écoutent très peu voir pas du tout la radio.

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Invité DJ BOGUE LE BARBIER

On aime ou on n'aime pas, c'est assez inusité comme podcast et vu que c'est plus ou moins cohérent (car ça part - un peu - dans tous les sens) ça se laisse écouter par curiosité au début et ensuite par passion parce que le contenu est assez original merci, en ce moment pour diverses raisons je n'ai pas les moyens de faire de la web-radio ici en NOUVELLE-FRANCE, mais je me suis mobilisé pour présenter quelques PODCAST à la FRANÇAISE, ce n'est pas OFFICIELLEMENT un podcast qui provient de la radio puisque cette radio est disparue le lundi 23 octobre 1989 du PAYSAGE AUDIO VISUEL FRANÇAIS, mais un ramassis de nouveautés de l'été 2015, de titres gold et aussi d'anecdotes (côté talk) avec des enchaînements bien authentiques... Voilà pour mon meilleur podcast !   

 à bon aventurier,

DJ BOGUE LE BARBIER

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Invité viva la radio

bonjour,

en vérité on tourne en rond, on a fait le tour de tout ou presque ,que ca soit en radio, ou en télé on va du plus débile pour faire le buzz a bernard PIVOT et son bouillon de culture pour faire large.  a mon avis faudrait peu etre commencer a réduire sérieusement la voilure aussi bien en télé qu' en radio pourquoi avoir une 30e de radio france bleue qui diffuse le nationale de paris ce n'est qu'un exemple. les moyens de diffusion sont multiple sattéllite , voix hertzienne tnt ,fm, dab et internet tout ca pour la meme chose bien souvent, et ca coute un pognon de dingue, merci manu.

comme je l'est dit dans un autre poste de toute maniére les plates formes musicale vont etre aussi confronté au probléme , les gens zap en permanence, youtube, spootify , deezer mix clound sound clound, music me, ils ne fidélisent pas de toute maniére, meme si c'est payant.  et je parle pas de youtube avec c'est millions de vidéo filmées avec des téléphones portable ou on voit rien et on entend rien non plus faudrait peu etre penser a faire le ménage dans tout ce foutoir qu'est devenu internet. les gens s'insultent sur les forums  il y a qu'a voir rien q'ici .des fois c'est rock and roll .

allez amusez vous bien. bonne réfléxion .

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Hélas je pense que tu as entièrement. Mise à part quelques exceptions, on se rapproche progressivement de la fin des radio musicale. Il y a qu'a voir les audiences qui ne cessent de s'effondrer on à eu encore la preuve cet année. En même temps la plus des radio musicale genre local se ressemble étrangement toutes avec programmation identique et le comble les habillages antenne sont presque tous les mêmes. A mon avis d'ici 5 ans ça sera la fin  la radio.

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La "délinéarisation des programmes" en télé et radio, ça fait 15 ans que l'on en entend parler.

Il n'empêche qu'il y a une sérieuse limite à tout ça, elle est environnementale. Tout ça consomme de la bande passante, de l'électricité, des capacités serveurs. Le tout avec une croissance exponentielle.

Et surtout tout ça pour écouter peu ou prou tous la même chose, mais à des moments différents (même raisonnement pour la télé ou le prime time de TF1 demeure -malgré certes une dispersion du public- le programme le plus regardé, sauf que les gens ne regardent plus sur la TNT, mais sur les box, ce qui consomme plus de ressources).

Pour moi, le broadcast conserve un intérêt fondamental, il est moins énergivore que l'adressage de contenu sur ordinateur ou smartphone. C'est un contresens environnemental de tout transférer dans les tuyaux d'Internet, même si c'est clairement vers ce vers quoi on va.

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Pour moi la FM est bien malade c'est clair, et les maux qui font fuir les auditeurs ont été enoncés plus haut: Pub, Débilité,  Répétitivité, Zéro risque... et j'ajouterais "copier/coller" les unes aux autres.

Mais je ne crois pour autant pas que Deezer et autres vont remplacer complètement la FM. Ces plateformes ont, à mon avis un handicap: vous parlez de "construire" vos playlists. Ok mais comment allez vous découvrir les nouveautés sur ces plateformes? La FM a au moins cet avantage, on a pas à "chercher", ça simplifie grandement la vie: la playlist s'offre à nous et se renouvelle , nouveautés comprises. Après je suis bien d'accord que les playlist radios sont trop resserrées et sont largement à améliorer.

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2 articles à lire et publiés à presque 3 ans d'écart

21 décembre 2016

Extrait :

Quel Avenir pour la radio ?

"Je suis assez pessimiste, si les patrons de groupe médias poursuivent dans la voie actuelle ; surtout les radios musicales apparues en 1981. Elles pourraient disparaitre à court termes, balayées par tous ces nouveaux usages cités plus haut. Selon un article du monde de juillet 2016 : seul 79,1 % des français ont écouté la radio au printemps 2016 (contre 84% en 2012). Le déclin est annoncé. « Les usages des auditeurs semblent accélérer (la) mutation (du secteur) » selon un document interne au groupe Radio France sur les usages du numérique. Ce document réserve d’autres surprises : Les supports numériques (Smartphone, tablette, PC, RNT, téléviseurs représentent déjà 7% de ces 79% avec une croissance à 2 chiffres. Les habitudes de zapping et de « On Demand » des générations Y et Z induisent une augmentation de l’audience différée. Les Podcast sont à la radio ce que le Replay est à la télé. La consommation de podcast a cru de 43% en 1 an. Un autre enseignement de l’étude de Radio France est que 52% de l’écoute numérique se fait hors de France. C’est la mondialisation."

https://blogs.mediapart.fr/rsakb94/blog/211216/la-transformation-numerique-des-radios-une-revolution-en-cours?utm_source=twitter&utm_medium=social&utm_campaign=Sharing&xtor=CS3-67

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17 août 2019

Rentrée radio au Canada : à la conquête des milléniaux

Extrait :

"L’intérêt des jeunes envers la radio est en « décroissance claire », note-t-il. La portée reste relativement similaire, mais c’est le temps d’écoute qui diminue. « [Les auditeurs] ont d’autres options que la radio, dit Luc Tremblay. Si tu as une heure et demie de ta journée à consacrer à l’écoute et que tu mets 45 minutes sur un podcast, 30 minutes sur Spotify… La compétition est énorme. »

https://www.lapresse.ca/arts/201908/16/01-5237673-rentree-radio-a-la-conquete-des-milleniaux.php

 

 

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Invité Tata Christiane

A chaque crise, on nous ressort le sempiternel discours !

En 2011, c'etait la même salade : "les radios musicales sont mortes"; puis lorsque NRJ a repris du galon, ce type de discours s'est envolé.

L'avenir appartient à ceux qui auront la capacité d'être des forces de proposition.

On ne peut eternellement être une "radio musicale " et moutonner les autres.

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Invité Tata Christiane
Il y a 15 heures, StanX a dit :

 Les Podcast sont à la radio ce que le Replay est à la télé. La consommation de podcast a cru de 43% en 1 an. Un autre enseignement de l’étude de Radio France est que 52% de l’écoute numérique se fait hors de France. C’est la mondialisation."
 

Tres intéressant ce constat et paradoxalement, plus aucune radio ne nous joue le moindre import depuis l’expérience de Maxximum.

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  • 2 weeks later...
Il y a 3 heures, StanX a dit :

Ca me fait rire : on s'excite sur un point de gagné alors que ce point a ete perdu.

L'ennui, c'est que ce format est facile : on s'introduit, ni plus, ni moins dans le registre des musicales du privé.

Est-on en droit d'attendre celà du service public ?

La reponse est negative.

Pendant ce temps, on perd encore des années sans la moindre reflexion sur ce qu'il faudrait passer pour les jeunes.

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  • 3 months later...

La radio se meurt, vive l’audio !

Nouvelles pratiques, nouveaux usages, nouveaux acteurs aussi, la radio « à papa » est concurrencée de toutes parts.

Par Emilie Grangeray Publié aujourd’hui à 15h06

https://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2019/12/18/la-radio-se-meurt-vive-l-audio_6023337_3236.html

 

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Il y a 17 heures, StanX a dit :

La radio se meurt, vive l’audio !

Nouvelles pratiques, nouveaux usages, nouveaux acteurs aussi, la radio « à papa » est concurrencée de toutes parts.

Par Emilie Grangeray Publié aujourd’hui à 15h06


https://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2019/12/18/la-radio-se-meurt-vive-l-audio_6023337_3236.html

 

Je cite:

le sociologue Olivier Donnat recontextualise : « Le mouvement d’éclatement de l’offre et de développement exponentiel du marché de niche est la tendance majeure de l’ensemble des industries culturelles et de la communication. » Ce qui risque d’aboutir à ce que « la radio, comme tous les médias prénumériques, subisse une concurrence sur le plan de l’emploi du temps ». Façon de dire qu’entre Netflix, un replay d’une émission loupée, un podcast natif et un nouvel album à écouter (et une journée qui ne fait toujours que vingt-quatre heures), il va falloir choisir. Mais selon lui, la radio n’est pas forcément la moins bien armée : « On peut l’écouter n’importe où et elle s’inscrit facilement dans les interstices de la vie quotidienne. »

 

Julie Terrade, directrice de pôle national au sein du département radio de Médiamétrie, abonde : « Certes, nous sommes dans une consommation de plus en plus choisie (à la carte) et immédiate, ce qui est particulièrement vérifiable chez les jeunes, mais le média historique de l’audio qu’est la radio reste le pilier de cet écosystème. »

 

Pour preuve, les premiers résultats de « Global Audio », la nouvelle étude de Médiamétrie qui analyse l’ensemble des usages audio des sondés, montrent qu’en moyenne, sur une journée, la radio représente 65 % du volume d’écoute, quand la musique en représente 34 %, les podcasts natifs 0,7 % et les livres audio 0,5 %.

 

P.S.: Souvenez vous que l'on écoutait déjà de la musique (vinyles, k7, cd, fichiers mp3 d'origine plus ou moins légale) avant que les plateformes de streaming musical n'arrivent... Ces plateformes changent la façon d'écouter la musique, c'est certain, mais remplacent surtout les anciens supports !

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"sur les cinq dernières années, NRJ, Nova et autres Oüi FM ont perdu 1,8 million d’auditeurs – contre 356 000 pour les généralistes..."

Force est de reconnaître que les musicales trinquent mais les généralistes limitent la casse finalement alors qu'il y a quelques années on prédisait leur mort inéluctable. Autrement dit, il reste encore des auditeurs qui attendent de leur radio un minimum de contenu.

Le 19/12/2019 à 12:17, Ben a dit :

Ces plateformes changent la façon d'écouter la musique, c'est certain, mais remplacent surtout les anciens supports !

Les amateurs de musique vont voir ailleurs mais pas forcément sur les plates-formes les plus connues. Certes celles-ci restent prépondérantes mais les milliers de webradios disponibles, souvent thématiques, sans pub et accompagnées parfois d'excellentes applis dédiées (Radio Paradise est un must !) font également le job.

"...Raison principale invoquée : trop de publicité. C’est ce qui ressort, massivement, d’un appel à témoignages lancé par Le Monde. Ou, comme le résume à sa façon cette jeune libraire de 24 ans : « Ecouter la radio, c’est avoir de la pub toutes les deux chansons."

Il est là le coeur du problème, écouter une émission (musicale ou pas) avec des pubs toutes les 5 minutes c'est pénible. Un peu de pubs ça va c'est supportable, au delà du seuil de tolérance ça devient abrutissant et finalement contre-productif pour les radios. Comme dit le proverbe "C'est la dose qui fait le poison". Quant aux musicales outre le problème de pubs il y a le reste qui ne leur fait pas que du bien (rotations, quotas, playlists rabougries, animations etc...)

Modifié par StanX
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Le 18/12/2019 à 18:35, StanX a dit :

La radio se meurt, vive l’audio !

Nouvelles pratiques, nouveaux usages, nouveaux acteurs aussi, la radio « à papa » est concurrencée de toutes parts.

Par Emilie Grangeray Publié aujourd’hui à 15h06


https://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2019/12/18/la-radio-se-meurt-vive-l-audio_6023337_3236.html

 

Bonjour les gens,

Les habitudes d'écoute, comme les supports, ne sont plus les mêmes.

Le cadre et instances juridiques, comment dire ... OUI... et NON : le CSA existe toujours.

Faut-il mettre à jour son rôle, ses missions, pouvoirs et champ d'action ?

Sans oublier aménager les quotas de manière cohérente (suivant le format par exemple).

Ou redéfinir les catégories de radio (A,B,C,D, E), les seuils anti-concentration.

Au passage, et à ce jour en national :

- Le groupe NRJ a 4 réseaux nationaux (NRJ, CHERIE, NOSTALGIE, RIRE). Aucun en E.

- LAGARDERE a 3 réseaux nationaux (EuROPE 1, VIRGIN, RFM).                  Dont 1 en E.

- RTL a 3 réseaux nationaux (RTL, RTL2, FUN).                                                 Dont 1 en E.

- ALTICE a 2 réseaux nationaux a 2 réseaux nationaux.                                  Les 2 en E.

 

Quelques coups de pinceau, pour bien repeindre la FM (ou le DAB) et mieux qu'en 1992, pourraient améliorer durablement la situation.

Permettre aussi l'arrivée de nouveaux entrants, comme des formats cohérents, me paraît une piste raisonnable.

Peut-être dans les bonnes résolutions pour 2020 ?

Bonjour chez vous !

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Oups !

Petite erreur dans mon post précédent :

Vu le sujet, autant être précis et rester dans le cadre.

Le groupe NRJ a 4 réseaux nationaux (NRJ, CHERIE, NOSTALGIE, RIRE),  soit 4 radios musicales. Aucune radio en E.

Le groupe LAGARDERE a 3 réseaux nationaux (RTL, RTL2, FUN),  soit 2 radios musicales. 1 radio en E.

Le groupe ALTICE a 2 réseaux nationaux (RMC et BFM Business. Pas de radio musicale. 1 radio en D et 1 en E.

Les radios régionales ayant divers regroupements.

Ecusez-moi, mais j’étais dans l’ambiance MAXXIMUM en réécoutant « La Nuit des Tarés » intégrale, avec Cocto et Pat Angeli, qui avaient animé l’antenne le 31/12/1991 de 1h à 9h du matin.

Les rotations (autre point noir entraînant le déclin des musicales) étaient tout autre sur MAXXIMUM, en avance sur son temps sur bien des sujets.

Mais ça, c’était avant (et peut-être bientôt avec MAXXIMUM en dab ?).

Bonsoir chez vous !

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Je ne crois pas à la disparition des musicales en 4-5 ans. Pour une raison simple, c'est que le développement du DAB+ va augmenter le nombre de canaux disponibles pour diffuser des programmes. Or, qu'on le veuille ou non, la manière la plus simple d'occuper un canal H24, ça reste de produire un flux musical. Si vous multipliez les canaux disponibles, en aucun cas ils ne pourront être occupés uniquement par du talk, pour des raisons de coût et de seuil de rentabilité. Plus il y aura de canaux disponibles avec le DAB, plus l'audience se fragmentera, plus les formats musicaux seront à même d'occuper un canal avec une audience modeste tout en restant économiquement viable.

On pourrait m'objecter le développement des programmes de remplissage parlé la nuit pour économiser la SACEM. Mais faire une radio talk coûte à la fin substantiellement plus cher qu'un fil musical animé (a fortiori en voice track). Et un format talk ne s'amortit qu'à un certain niveau d'audience (voir l'expérience Parenthèse Radio à la fin des années 2000).

Donc je crois à la persistance de formats musicaux, qui évolueraient dans une logique d'ultra format (sur l'exemple des web radios) qui trouveront leur public. Pour l'heure, les algorithmes de suggestions des sites de streaming sont loin d'être parfaits. La radio musicale en restant sur une logique d'offre, c'est-à-dire donner à entendre ce que l'auditeur ne s'attendait pas nécessairement à entendre en tournant le bouton, un élément de surprise, reste pour moi un ressort puissant d'efficacité.

Mais à plus long terme, je crois effectivement à un viellissement des tranches d'âge des auditeurs de musicales radios, qui restent pour l'instant des cibles commerciales intéressantes.

Dernier mot, le foisonnement des podcasts est quelque chose de formidable à écouter, il se créée des choses nouvelles, originales. Mais comme après l'éclosion des radios libres en 81 rachetées une à une pour y diffuser un flux satellite, la question du modèle économique se posera, il y aura une phase de consolidation du marché.

Modifié par Invité désormais inscrit
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