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Les animateurs qui laissent la place au voice-track


Waylon

Messages recommandés

Je n'arrive pas à comprendre comment les animateurs peuvent accepter de dire "on retrouve (nom de l'animateur employé d'une société spécialisée dans le voice-track) dans quelques minutes", voire même "il est dans les couloirs", alors que l'animateur qui le suit est en voice-track et ne fait même pas partie du staff de la radio.

Ils n'ont pas l'impression qu'on leur vole leur job ?

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il y a 30 minutes, Waylon a dit :

Je n'arrive pas à comprendre comment les animateurs peuvent accepter de dire "on retrouve (nom de l'animateur employé d'une société spécialisée dans le voice-track) dans quelques minutes", voire même "il est dans les couloirs", alors que l'animateur qui le suit est en voice-track et ne fait même pas partie du staff de la radio.

Ils n'ont pas l'impression qu'on leur vole leur job ?

Non, car ceux qui disent cela sont généralement eux-mêmes en voice track.

Ou alors ils sont ceux qui embauchent les animateurs en voice track.

Ou alors ils sont salariés de ceux qui embauchent les animateurs en voice track, et doivent donc s’estimer heureux de ne pas être en voice track car ça leur pend au nez.

Ou alors ils ne sont ni l’un ni l’autre, mais sont réalistes et conscients des réalités du marché, et ne portent donc pas ce genre de jugement.

Dans tous les cas, ils ne sont pas vous.

La plupart des gens ne sont pas vous.

La plupart des gens s’en foutent de ces questions.

La plupart des gens se fichent totalement de ce que peuvent raconter les animateurs des radios musicales, qu’ils soient en direct ou en voice track.

D’ailleurs, la plupart des gens ont un réflexe : des qu’un animateur commence à parler sur une radio musicale, cela implique qu’un écran pub va suivre. Le réflexe instantané consiste donc à VITE zapper, immédiatement, en espérant tomber sur de la musique, ailleurs.

Les animateurs des radios musicales ne servent strictement à rien.

Par exemple, sur les locales de réseaux, les animateurs ne sont présents seulement car la loi oblige les radios à faire un « programme local ». Si la loi n’obligeait pas cela, 100% des locales de réseaux vendraient de la publicité sans embaucher aucun animateur ni aucun journaliste.

Quant aux radios « B », on suppose qu’elles embauchent des animateurs pour… euh… pourquoi en fait ? Je n’y avais pas pensé. Pourquoi diable font-elles ça ? Même en voice track ? Pourquoi faire ?

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Bonjour les gens,

Pas drôle, mais vraiment pas drôle du tout.

C'est un peu comme les restos qui prétendent nous servir du fait maison.

Avec un tel état d'esprit (pas forcément universel dans la "profession"), soit l'auditeur est condamné à écouter sans rien dire ni donner son avis, soit il va voir ailleurs.

Et après on s'étonne des sondages, ou du changement des supports + habitudes d'écoute, ou encore d'aller écouter ce qui se passe à l'étranger (en bien mieux, avec des formats adéquats).

"Etonnant non ?", comme disait l'Ami Pierre Desproges.

Bonjour chez vous.

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J'avais suggéré il y a quelques temps que lorsqu'un animateur est en voice-track, la radio soit tenue d'en informer les auditeurs. Par exemple, par un message toutes les demi-heures par exemple.

Modifié par AUGUSTUS
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Vous croyez vraiment que l'auditeur lambda en a quelque chose à faire que l'animateur qu'il écoute soit en direct ou pas ?

Le voicetrack est mal vu ici car les animateurs d'ici se font piquer le boulot par des boites de prod mais d'une manière générale, les émissions enregistrées ou en voicetrack, si c'est bien fait, ça s'entend pas donc l'auditeur ne le remarquera pas.

@MAXXIMUM83 tu compares avec les restos qui disent faire du fait maison alors que c'est pas vrai, là il y a tromperie sur un produit payant donc ce n'est pas comparable.

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Invité Robert

Oui il faudrait faire les vidéos YouTube en direct, jouer les films en direct etc...

Vivez avec votre temps ....

A part pour les gens de ce forum pour la plupart aigri d'un temps qui n'existe plus tout le monde s'en fou  du direct ou pas.

C'est comme ces gens qui n'arrête pas de parler de fréquence ou d'émetteur dans la rubrique radio alors qu'il s'agit d'un sujet à  mettre en rubrique technique.  

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Invité Yaka
Il y a 2 heures, R0uLi a dit :

Le voicetrack est mal vu ici car les animateurs d'ici se font piquer le boulot par des boites de prod mais d'une manière générale

Et pourtant les radios postent régulièrement des annonces de recrutement. Mais personne postule parce que "trop loin de paris" ou des raisons abjectes parfois.

Ou les maquettes reçues sont tout simplement pas le coeur de cible visé par la direction, d’où cet intéret pour certains voice trackeurs.

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Il y a 3 heures, R0uLi a dit :

Vous croyez vraiment que l'auditeur lambda en a quelque chose à faire que l'animateur qu'il écoute soit en direct ou pas ?

Le voicetrack est mal vu ici car les animateurs d'ici se font piquer le boulot par des boites de prod mais d'une manière générale, les émissions enregistrées ou en voicetrack, si c'est bien fait, ça s'entend pas donc l'auditeur ne le remarquera pas.

@MAXXIMUM83 tu compares avec les restos qui disent faire du fait maison alors que c'est pas vrai, là il y a tromperie sur un produit payant donc ce n'est pas comparable.

Bonjour les gens,
 

L’art et la manière de nous prendre au moins pour des moutons.

Tromperie sur un produit payant, ou autres termes : appelez ça comme vous voudrez.

Tant pis pour la spontanéité, l’impro, l’humour, ou ce qui fait charmes et autres caractéristiques de tel animateur ou même d’une station (reconnaissable rien qu’en écoutant 

Avec des speacks réduisant à pousser/annoncer les disques, répéter le nom de la station, souvent avant un écran pub (qui est payant, et rapporte ainsi davantage  !).

Et quand il y a plus que de l’abus, c’est toujours l’éthique, l’amour du métier bien fait, c’est ça ?

Elle est belle la radio low cost ! Car les rentrées publicitaires continuent, et les profits vraiment optimisés.

Et dire qu’ici Région Sud il y a une B qui fait de l’info trafic en voice, et sponsorisée tant qu’à faire.

Mais ce n’est pas comparable ou je n’y connais rien, c’est ça ?

Les dirigeants B recevant en plus telle ou telle subvention.

En tout cas, le CSA devrait redéfinir les catégories A, B, C, D, E.

Avec des quotas adaptés au format, et des plafonds pour le voice track (pourquoi pas suivant les tranches horaires).

Et peut-être que nous retrouverons une meilleure part de vrai contenu, mais aussi distinguer l’écoute d’une B du Sud d’une B d’ailleurs en France.

Bonjour chez vous.

 

 

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Invité happy day radio

toute maniere c'est comma partout , comme a la caisse du supermarché ou c'est vous qui scanné vos articles et plus la caissiére et poutant ont paie toujours le meme prix voir plus normal? that is a question, pourquoi il y avait il des animateurs ou techniciens avant parce qu'il fallait des personnes pour pousser les curseurs et mettre les vynils ou cd dans ou sur les platines.

le monde évolue depuis la nuit des temps le résultat est la encore plus visible avec le numérique mais bon une simple panne de courant et plus rien ne fonctionne et aprés on nous parle de dépendance le mot a la mode. tout cela est il viable a l'on terme pas sure.

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il y a une heure, MAXXIMUM83 a dit :

Tant pis pour la spontanéité, l’impro, l’humour, ou ce qui fait charmes et autres caractéristiques de tel animateur ou même d’une station (reconnaissable rien qu’en écoutant 

Avec des speacks réduisant à pousser/annoncer les disques, répéter le nom de la station, souvent avant un écran pub (qui est payant, et rapporte ainsi davantage  !).

 

Ça n'a rien à voir avec le voicetrack ça. J'ai été stagiaire sur une local NRJ en 2001 et c'était déjà ce que faisait l'animateur locale pendant 4h, des speaks de merd* calés entre 2 disques sans spontanéité, sans impro, sans humour.

Maintenant il y a du voicetrack de bien meilleure qualité que ce qui peut se faire en "live" si cher aux membres d'ici.

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Le voice-track n'est qu'une forme de télétravail parmi d'autre exécuté par des sous-traitants.

On peut comprendre les opposants et je les comprends mais comme il est dit plus haut l'auditeur lambda ne se rend même pas compte et à partir du moment où le service convient pourquoi changer ?

Je sais c'est cruel mais c'est comme ça et pas que dans le domaine de la radio (hélas)

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Invité Le Son d'Histoire

OHHH Les Mecs

VOUS n'avez toujours pas encore compris que la RADIO C'EST       THE END !        FINI !

LOL a bien tout résumé.

Arrêtez de vivre dans le déni.

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Invité Taffalas
Il y a 3 heures, MAXXIMUM83 a dit :

Bonjour les gens,
 

L’art et la manière de nous prendre au moins pour des moutons.

Tromperie sur un produit payant, ou autres termes : appelez ça comme vous voudrez.

Tant pis pour la spontanéité, l’impro, l’humour, ou ce qui fait charmes et autres caractéristiques de tel animateur ou même d’une station (reconnaissable rien qu’en écoutant 

Avec des speacks réduisant à pousser/annoncer les disques, répéter le nom de la station, souvent avant un écran pub (qui est payant, et rapporte ainsi davantage  !).

Et quand il y a plus que de l’abus, c’est toujours l’éthique, l’amour du métier bien fait, c’est ça ?

Elle est belle la radio low cost ! Car les rentrées publicitaires continuent, et les profits vraiment optimisés.

Et dire qu’ici Région Sud il y a une B qui fait de l’info trafic en voice, et sponsorisée tant qu’à faire.

Mais ce n’est pas comparable ou je n’y connais rien, c’est ça ?

Les dirigeants B recevant en plus telle ou telle subvention.

En tout cas, le CSA devrait redéfinir les catégories A, B, C, D, E.

Avec des quotas adaptés au format, et des plafonds pour le voice track (pourquoi pas suivant les tranches horaires).

Et peut-être que nous retrouverons une meilleure part de vrai contenu, mais aussi distinguer l’écoute d’une B du Sud d’une B d’ailleurs en France.

Bonjour chez vous.

 

 

Je ne crois pas que le modèle économique des radios B se base sur des subventions. C’est mal connaître le domaine que d’affirmer ça.

Et sinon, le reste de votre argumentation… LOL. « Profits optimisés » ? Eh bien… oui. Les radios commerciales sont des entreprises dont le but est … de faire du profit.
Des entreprises quoi ?

Je ne connais d’entreprises dont le but n’est pas de faire du profit, je n’en connais pas non plus qui ne cherchent pas à optimiser leurs profits.

Quant à la spontanéité, la touche d’humour… LOL aussi. Personne n’est en recherche de ça , à part quelques irréductibles comme vous. Les gens s’en fichent royalement. Mettez leur des playlists sans aucun animateur, vous verrez qu’ils seront ravis de ne plus être importunés par des animateurs.

Tiens d’ailleurs je suis étonné de ne pas encore avoir vu passer la notion de « respect de l’auditeur » dans ce sujet. Ça aussi c’est marrant à chaque fois ?

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Bonjour les gens,

Je ne suis pas dans le déni, mais le constat d'une belle désolation face à ceux qui nous tuent la radio en France.

Le profit est légitime dans toute entreprise commerciale. sa répartition un tout petit peu moins.

Surtout ne changeons rien en France.

Tout va très bien, les audiences ne se sont jamais aussi bien portées.

Et je suis d'une médisance/ignorance inégalée.

D'ailleurs il faudra m'expliquer l'incontestable justification inculquée dans les studec et Cie, qui tue tout ce qu'il y a de beau dans le métier d'animateur.

Vive les radios top40 !

Si vous ratez un tube sur Kiss Fm ou Star ici Région Sud, ne vous inquiétez pas : d'autres B vous le passent presque partout ailleurs en France, avec quasiment les mêmes cadences ou rotations.

Surtout ne pas se remettre en question, puisqu'en quittant une place, on est sûr d'en trouver une autre sur une autre B.

A défaut d'avoir celle des gros bofs d'auditeur(s), c'est çà la reconnaissance du métier. Ou peut-être de l'entre soi.

Juste une question : mais pourquoi certaines radios privées régionales chez nos voisins européens réussissent à avoir des formats cohérents et performants, sans avoir constamment les mêmes titres aux rotations ultra rapprochées ?

Et sans forcément avoir les speacks lisses, fades et uniformes, en prélude aux écrans pubs.

Allez chiche, une petite réponse !

Vous appelez ça du local, quand une B sous-traite un morning ou un drive à une boite de voice à l'autre bout de la France ?

Vous appelez ça de l'info trafic sur une B quand l'animateur la cale en voice 20 ou 30 mn avant, pour nous dire qu'il commence à y avoir déjà du monde sur les grands axes et autoroutes de la région ?

Du travail bien fait ?

Trop de voice tue le voice, et l'un des essentiels de l'âme d'une radio B : la proximité.

Heureusement qu'il y a les webradios et l'écoute en ligne des radios étrangères, puisque je suis ringard et passéiste.

Bonsoir chez vous.

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Le 16/03/2022 à 00:05, Invité LOL a dit :

Non, car ceux qui disent cela sont généralement eux-mêmes en voice track.

Ou alors ils sont ceux qui embauchent les animateurs en voice track.

Ou alors ils sont salariés de ceux qui embauchent les animateurs en voice track, et doivent donc s’estimer heureux de ne pas être en voice track car ça leur pend au nez.

Ou alors ils ne sont ni l’un ni l’autre, mais sont réalistes et conscients des réalités du marché, et ne portent donc pas ce genre de jugement.

Dans tous les cas, ils ne sont pas vous.

La plupart des gens ne sont pas vous.

La plupart des gens s’en foutent de ces questions.

La plupart des gens se fichent totalement de ce que peuvent raconter les animateurs des radios musicales, qu’ils soient en direct ou en voice track.

D’ailleurs, la plupart des gens ont un réflexe : des qu’un animateur commence à parler sur une radio musicale, cela implique qu’un écran pub va suivre. Le réflexe instantané consiste donc à VITE zapper, immédiatement, en espérant tomber sur de la musique, ailleurs.

Les animateurs des radios musicales ne servent strictement à rien.

Par exemple, sur les locales de réseaux, les animateurs ne sont présents seulement car la loi oblige les radios à faire un « programme local ». Si la loi n’obligeait pas cela, 100% des locales de réseaux vendraient de la publicité sans embaucher aucun animateur ni aucun journaliste.

Quant aux radios « B », on suppose qu’elles embauchent des animateurs pour… euh… pourquoi en fait ? Je n’y avais pas pensé. Pourquoi diable font-elles ça ? Même en voice track ? Pourquoi faire ?

Trop long à lire

 

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Il y a 8 heures, MAXXIMUM83 a dit :

Bonjour les gens,

Je ne suis pas dans le déni, mais le constat d'une belle désolation face à ceux qui nous tuent la radio en France.

Le profit est légitime dans toute entreprise commerciale. sa répartition un tout petit peu moins.

Surtout ne changeons rien en France.

Tout va très bien, les audiences ne se sont jamais aussi bien portées.

Et je suis d'une médisance/ignorance inégalée.

D'ailleurs il faudra m'expliquer l'incontestable justification inculquée dans les studec et Cie, qui tue tout ce qu'il y a de beau dans le métier d'animateur.

Vive les radios top40 !

Si vous ratez un tube sur Kiss Fm ou Star ici Région Sud, ne vous inquiétez pas : d'autres B vous le passent presque partout ailleurs en France, avec quasiment les mêmes cadences ou rotations.

Surtout ne pas se remettre en question, puisqu'en quittant une place, on est sûr d'en trouver une autre sur une autre B.

A défaut d'avoir celle des gros bofs d'auditeur(s), c'est çà la reconnaissance du métier. Ou peut-être de l'entre soi.

Juste une question : mais pourquoi certaines radios privées régionales chez nos voisins européens réussissent à avoir des formats cohérents et performants, sans avoir constamment les mêmes titres aux rotations ultra rapprochées ?

Et sans forcément avoir les speacks lisses, fades et uniformes, en prélude aux écrans pubs.

Allez chiche, une petite réponse !

Vous appelez ça du local, quand une B sous-traite un morning ou un drive à une boite de voice à l'autre bout de la France ?

Vous appelez ça de l'info trafic sur une B quand l'animateur la cale en voice 20 ou 30 mn avant, pour nous dire qu'il commence à y avoir déjà du monde sur les grands axes et autoroutes de la région ?

Du travail bien fait ?

Trop de voice tue le voice, et l'un des essentiels de l'âme d'une radio B : la proximité.

Heureusement qu'il y a les webradios et l'écoute en ligne des radios étrangères, puisque je suis ringard et passéiste.

Bonsoir chez vous.

Trop long à lire

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Invité CRICRI DE CHACHA
Le 17/03/2022 à 18:13, MAXXIMUM83 a dit :

Juste une question : mais pourquoi certaines radios privées régionales chez nos voisins européens réussissent à avoir des formats cohérents et performants, sans avoir constamment les mêmes titres aux rotations ultra rapprochées ?
 

Il existe une difference de taille : chez nos voisins, les radios savent ce qu'elles veulent faire et gerent tres bien leur format.

Ici, on donne l'illusion d'un format réussi avec dix pseudo-hits; non seulement, ce n'est pas suffisant mais le format est tout sauf concluant : on ne fait pas un format avec quinze titres.

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Bonjour les gens,

Hello CRICRI,

Le 22/03/2022 à 11:47, Invité CRICRI DE CHACHA a dit :

Il existe une difference de taille : chez nos voisins, les radios savent ce qu'elles veulent faire et gerent tres bien leur format.

Ici, on donne l'illusion d'un format réussi avec dix pseudo-hits; non seulement, ce n'est pas suffisant mais le format est tout sauf concluant : on ne fait pas un format avec quinze titres.

Nous sommes malheureusement d'accord.

C'est assez paradoxal vu qu'en Europe il paraît que nous sommes censés avoir une certaine homogénéîté dans plusieurs aspects du quotidien.

Notamment en Italie, en Suisse, en Allemagne, en Belgique, au royaume Uni, ils y arrivent pas trop mal.

Sans forcément abuser du voice-track, toutes catégories de radio confondues.

Mais pas en France.

Alors quand on n'est pas du métier, on doit ne rien dire et subîr. C'est çà ?

Les autres radios passent toutes la même chose ...

Passez sur ....

Bonjour chez vous.

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Invité CRICRI DE CHACHA
Il y a 6 heures, MAXXIMUM83 a dit :

C'est assez paradoxal vu qu'en Europe il paraît que nous sommes censés avoir une certaine homogénéîté dans plusieurs aspects du quotidien.
 

Idée recue qui s'explique que le CSA veut des monopoles radiophoniques, ce qui va presqu'à contresens de ses missions.

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Invité Rasputin
il y a 19 minutes, aie aie aie a dit :

non quand c trop long, y'a forcément la moitié à jeter. Donc ne pas perdre son temps à lire ;)

C’est sans doute pour cela que les bibliothèques sont remplies de BD de 5 pages, et que nos enfants apprennent à lire en 6 mois ? 

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Le 17/03/2022 à 08:56, Invité Robert a dit :

Oui il faudrait faire les vidéos YouTube en direct, jouer les films en direct etc...

Vivez avec votre temps ....

A part pour les gens de ce forum pour la plupart aigri d'un temps qui n'existe plus tout le monde s'en fou  du direct ou pas.

C'est comme ces gens qui n'arrête pas de parler de fréquence ou d'émetteur dans la rubrique radio alors qu'il s'agit d'un sujet à  mettre en rubrique technique.  

Et au final les gens n'en n'ont plus rien à foutre de la radio... Parce que c'est mort : il n'y a plus de vie à l'antenne, plus d'interactivité avec l'auditeur, plus d'audace dans la prog, de la publicité à outrance.

Franchement, c'est l'expérience de la grenouille que l'on met dans l'eau froide d'une casserole posée sur un feu. Au début c'est un peu frais, puis la température s'élève et l'animal trouve ça super confortable, de plus en plus confortable à mesure que l'eau chauffe doucement. L'animal n'a que quelques secondes de panique quand la sensation de brûlure intervient mais il est déjà trop tard... Et la grenouille meurt en quelques secondes.

Vous, et ceux qui pensent comme vous, êtes la grenouille dans une casserole, et alors que l'eau est déjà bien chaude, vous dites encore à vos camarades "venez elle est trop bonne !".

Je ne suis qu'un consommateur de radio, et quand je vois les discours comme ceux qui sont tenus ici, je suis vraiment content de ne pas en vivre !

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Hello !

Le sujet du VT (souvent abordé ici) apporte son lot de mécontents et de pro-vt... 

Il faudrait que la législation émanant du CSA/ L'ARCOM puisse imposer un quota de temps de direct (vrai direct sans vt) aux radios ayant un chiffre d'affaires supérieurs à tant de millions d'euros ... 

Le VT est  salutaire pour les radios locales à petit budget (les A par exemple) pour avoir un semblant de présence antenne par contre il anormal que des radios ou groupes de radios (régionales entre autres) qui font pour certaines entre 1 et 3 millions d'euros (à la louche ... certaines au dessus largement et d'autres au dessous) aient recours au VT..... 

Ces 50 % permettraient au moins de créer de créer de nouveaux emplois et surtout d'avoir un vrai direct ... et pas seulement sur les Mornings... évidemment les locales qui font du direct le matin entre 6h et 10h et le soir entre 16 et 20h sont pratiquement déjà dans le quota il manquerait juste le 10h 14h ou le 20h Minuit en direct ... 

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Invité Giem
il y a 38 minutes, Oldschoolspeaker a dit :

Hello !

Le sujet du VT (souvent abordé ici) apporte son lot de mécontents et de pro-vt... 

Il faudrait que la législation émanant du CSA/ L'ARCOM puisse imposer un quota de temps de direct (vrai direct sans vt) aux radios ayant un chiffre d'affaires supérieurs à tant de millions d'euros ... 

Le VT est  salutaire pour les radios locales à petit budget (les A par exemple) pour avoir un semblant de présence antenne par contre il anormal que des radios ou groupes de radios (régionales entre autres) qui font pour certaines entre 1 et 3 millions d'euros (à la louche ... certaines au dessus largement et d'autres au dessous) aient recours au VT..... 

Ces 50 % permettraient au moins de créer de créer de nouveaux emplois et surtout d'avoir un vrai direct ... et pas seulement sur les Mornings... évidemment les locales qui font du direct le matin entre 6h et 10h et le soir entre 16 et 20h sont pratiquement déjà dans le quota il manquerait juste le 10h 14h ou le 20h Minuit en direct ... 

Et cette loi obligerait également ces « animateurs en direct » à raconter des choses intéressantes ?

Ou pourraient-ils raconter la même chose que les voice-trackers, le principal étant qu’ils soient en direct ?

Pour ma part, je suggère que :

- les directeurs des radios dont le but n’est que de gagner du fric, soient fessés cul-nu en public, le 1er mardi de chaque mois.

- les voice trackers se voient obligés de payer 95% d’impôts, et que ces impôts soient reversés aux radios associatives, sauf celles qui font du voice track.

- tous les contribuables soient obligés d’écouter les radios associatives au moins 3 fois par semaine, sauf celles qui font du voice track.

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Bonjour les gens,

Je partage ce que propose Oldschoolspeacker.

On nous impose bien des quotas depuis plus de 20 ans.

Et la finalité d'origine de cette loi a été plus que détournée.

Faut pas pousser.

Avec des formats lissés, dénaturés.

Je ne savais pas que l'auditeur (c'est vrai qu'il y en a beaucoup, n'est-ce pas !), la qualité des nouveaux talents, comme des rotations, s'en sortaient grand gagnants.

Bonjour chez vous.

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Invité Yaka
Le 17/03/2022 à 06:40, R0uLi a dit :

Le voicetrack est mal vu ici car les animateurs d'ici se font piquer le boulot par des boites de prod mais d'une manière générale

Et pourtant les radios postent régulièrement des annonces de recrutement. Mais parfois ça viens pas parceque "trop loin de paris"(je l'ai déjà vu) ou des raisons abjectes parfois.

Il y a 16 heures, Invité Giem a dit :

Et cette loi obligerait également ces « animateurs en direct » à raconter des choses intéressantes ?

Ou pourraient-ils raconter la même chose que les voice-trackers, le principal étant qu’ils soient en direct ?

Que t'ai quelqu'un en studio ou pas, y'a les mêmes trucs à promotionner donc ça reviens strictement au même au final.

Pour l'auditeur c'est invisible, ce débat est inutile à mes yeux.

A croire que certains font ce débat puisque ils ont postulé dans une radio mais qu'ils ont pas été pris et que c'est un voice trackeur qui à pris leur "place".

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Invité CRICRI DE CHACHA
Il y a 2 heures, MAXXIMUM83 a dit :

On nous impose bien des quotas depuis plus de 20 ans.

Et la finalité d'origine de cette loi a été plus que détournée.

Pardonnez-moi de vous dire que cette loi a été pondue  une epoque où NRJ nous abreuvait de boy's bands qui n’étaient pas joués ailleurs.

Grace à cette loi, celà obligeait les autres radios à jouer les titres francais et les boy's bands tout en neutralisant les concurrents trop thematiques.

On aurait pû penser que celà aurait pû profiter à M40; helas, on a préféré se tourner vers des golds et fermet la station.

Tout benef pour la panthere !

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Il y a 22 heures, Invité Giem a dit :

Et cette loi obligerait également ces « animateurs en direct » à raconter des choses intéressantes ?

Ou pourraient-ils raconter la même chose que les voice-trackers, le principal étant qu’ils soient en direct ?

Pour ma part, je suggère que :

- les directeurs des radios dont le but n’est que de gagner du fric, soient fessés cul-nu en public, le 1er mardi de chaque mois.

- les voice trackers se voient obligés de payer 95% d’impôts, et que ces impôts soient reversés aux radios associatives, sauf celles qui font du voice tractous les contribuables soient obligés d’écouter les radios associatives au moins 3 fois par semaine, sauf celles qui font du voice track.

Même si votre com est sarcastique ou ironique ... je prends le temps de vous répondre ... 

Choses intéressantes ? Tout dépend de la politique d'antenne si les anims en vt ou pas racontent rien d'intéressant c'est peut être que depuis les années 2005-2010 ont leur demande faire le minimum syndical non ?  cf : la politique d'antenne des GRANDS responsables d'antenne... 

La radio qui fera le choix du direct, du moins j'ose le penser, demandera à ses anims en direct d'avoir des speaks sur l'actu culturelle à chaud (concerts du jour dans la région,  artistes en déplacement dans la région et pourquoi ne pas revenir aux fondamentaux soyons fous  : avoir même un artiste en direct studio le soir avec échange avec les auditeurs en direct (sans pré enregistrement des inserts) etc.. en un mot faire la radio comme elle a été faite et comme elle devrait toujours être faite ... c'est bête quand on y pense ... 

On pourrait même refaire des directs extérieurs ! Mince alors ! 

Tout est question de la volonté de la direction de la radio : Soit faire du fric avec un minimum d'investissements Soit faire (du fric aussi mais avec un peu plus de charges) de la vraie radio avec un maximum d'interactivité, de jeux en direct etc... croyez-moi même l'auditeur lambda se rendra vite compte de la différence entre la radio robinet et la radio contenu ... ;) 

 Pour rappel France Bleu (10h par jour) est en direct il y a du contenu, des inserts, du direct etc.. la recette d'une locale privée ne serait-elle pas justement un mix entre des speaks avec du contenu local (sans parler de la foire au boudin pour autant) et une programmation musicale hits... 

Aprés c'est en fonction du bassin de population et de la zone couverte ... 

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il y a 27 minutes, Oldschoolspeaker a dit :

La radio qui fera le choix du direct, du moins j'ose le penser, demandera à ses anims en direct d'avoir des speaks sur l'actu culturelle à chaud (concerts du jour dans la région,  artistes en déplacement dans la région et pourquoi ne pas revenir aux fondamentaux soyons fous  : avoir même un artiste en direct studio le soir avec échange avec les auditeurs en direct (sans pré enregistrement des inserts) etc.. en un mot faire la radio comme elle a été faite et comme elle devrait toujours être faite ... c'est bête quand on y pense ...

C'est justement le *gros* problème des radios privées - et hélas cela devient le problème du Service Public également - c'est à dire être rentable à tout prix. Donc on supprime des postes à tout va (journalistes, animateurs en direct, programmateurs musicaux quand il y en reste encore un mdr). Alors quant aux invités en direct, si ce n'est pas de grosses pointures, ils sont condamnés à disparaître eux aussi si cette politique de pseudo-économies continuent à être appliquée. En somme, c'est l'ultra-libéralisme appliqué aux radios.

Et l'on s'étonne que les auditeurs fuient vers les plate-formes de streaming (Youtube, Spotify,...) ou vers les webradios. Comment ne pas les comprendre et leur donner raison ?

Moi-même, je m'aperçois que je découvre bien plus de choses intéressantes sur Youtube que sur les radios disponibles en FM.

Je pense que le voice-track n'est que le révélateur en fait de cette gabegie.

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Invité voicetruc
Il y a 13 heures, Oldschoolspeaker a dit :

Même si votre com est sarcastique ou ironique ... je prends le temps de vous répondre ... 

Choses intéressantes ? Tout dépend de la politique d'antenne si les anims en vt ou pas racontent rien d'intéressant c'est peut être que depuis les années 2005-2010 ont leur demande faire le minimum syndical non ?  cf : la politique d'antenne des GRANDS responsables d'antenne... 

La radio qui fera le choix du direct, du moins j'ose le penser, demandera à ses anims en direct d'avoir des speaks sur l'actu culturelle à chaud (concerts du jour dans la région,  artistes en déplacement dans la région et pourquoi ne pas revenir aux fondamentaux soyons fous  : avoir même un artiste en direct studio le soir avec échange avec les auditeurs en direct (sans pré enregistrement des inserts) etc.. en un mot faire la radio comme elle a été faite et comme elle devrait toujours être faite ... c'est bête quand on y pense ... 

On pourrait même refaire des directs extérieurs ! Mince alors ! 

Tout est question de la volonté de la direction de la radio : Soit faire du fric avec un minimum d'investissements Soit faire (du fric aussi mais avec un peu plus de charges) de la vraie radio avec un maximum d'interactivité, de jeux en direct etc... croyez-moi même l'auditeur lambda se rendra vite compte de la différence entre la radio robinet et la radio contenu ... ;) 

 Pour rappel France Bleu (10h par jour) est en direct il y a du contenu, des inserts, du direct etc.. la recette d'une locale privée ne serait-elle pas justement un mix entre des speaks avec du contenu local (sans parler de la foire au boudin pour autant) et une programmation musicale hits... 

Aprés c'est en fonction du bassin de population et de la zone couverte ... 

y'a juste une petite chose que vous oubliez : France Bleu vit de deniers publics et son financement est assuré sans aucun problème chaque année par ces deniers + la publicité .

Facile dès lors de faire un programme riche en personnel quand on a les moyens et un budget conséquent .

Faire des OP, des directs extérieurs, interviews, etc : c'est justement parce que  à moindre frais ces radios privées font appel au voicetrack qu'il leur est possible de se concentrer sur d'autres choses comme l'info ou le travail de promo et de terrain avec leur personnel  et dont le voice track est parfaitement complémentaire quand il est bien fait .

Faire du direct quand c'est nécessaire , pour un journal ou un évènement, naturellement oui  !
en dehors de cela, désolé,  mais pour faire 4 speaks de 30 secondes par heure comme le demandent les radios aujourd'hui, être en direct est inutile. 

 

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Invité Antitruc
Le 29/03/2022 à 08:28, Invité voicetruc a dit :

Faire des OP, des directs extérieurs, interviews, etc : c'est justement parce que  à moindre frais ces radios privées font appel au voicetrack qu'il leur est possible de se concentrer sur d'autres choses comme l'info ou le travail de promo et de terrain avec leur personnel  et dont le voice track est parfaitement complémentaire quand il est bien fait .

Faire du direct quand c'est nécessaire , pour un journal ou un évènement, naturellement oui  !
en dehors de cela, désolé,  mais pour faire 4 speaks de 30 secondes par heure comme le demandent les radios aujourd'hui, être en direct est inutile. 

Désolé mais c’est bien mal connaître la radio que de dire ça !

Une radio c’est un tout et les animateurs en sont les meilleurs représentants. Ceux qui pensent le contraire, rendez vos fréquences SVP !

Une opération terrain si elle n’est pas représentée par des gens de la radio identifié, reconnu et investi, cela ne sert à rien !

Ce n’est pas la durée des speaks qui compte mais d’être bien présent et de partager le même instant et le même lieu de vie. C’est tout l’intérêt d’une musicale privée commerciale locale. 
Pour informer, s’intéresser, s’amuser, s’offusquer, être réactif et vivre ! En étant connecté avec les auditeurs ! 
 

De plus, les opérations terrains étaient bien plus nombreuses en local avant 2010. Preuve que l’argent économisé sur des salariés ne participe pas au succès d’une radio mais de son appauvrissement.

Le voicetrack tel qu’il est utilisé en local c’est de l’anti-radio ! Cela permet juste de combler les trous pour satisfaire le CSA et vendre des écrans pubs à moindre coup ! 

C’est une dérive scandaleuse quand on voit le niveau économique des régies publicitaires qui n’a jamais été aussi élevé aujourd’hui avec une masse salariale des antennes qui n’a jamais été aussi basse. 

Comment peut-on laisser faire un truc pareil ?

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Le 29/03/2022 à 08:28, Invité voicetruc a dit :

y'a juste une petite chose que vous oubliez : France Bleu vit de deniers publics et son financement est assuré sans aucun problème chaque année par ces deniers + la publicité .

Facile dès lors de faire un programme riche en personnel quand on a les moyens et un budget conséquent .

Faire des OP, des directs extérieurs, interviews, etc : c'est justement parce que  à moindre frais ces radios privées font appel au voicetrack qu'il leur est possible de se concentrer sur d'autres choses comme l'info ou le travail de promo et de terrain avec leur personnel  et dont le voice track est parfaitement complémentaire quand il est bien fait .

Faire du direct quand c'est nécessaire , pour un journal ou un évènement, naturellement oui  !
en dehors de cela, désolé,  mais pour faire 4 speaks de 30 secondes par heure comme le demandent les radios aujourd'hui, être en direct est inutile. 

 

Je n'ai jamais dit qu'il fallait du France Bleu mais un mix entre une radio hits et du direct avec + de proximité sans pour autant avoir, encore une fois, tous les créneaux faits en direct... 

Des radios privées qui font 3 milllions de CA annuel n'ont pas les moyens d'avoir au moins trois anims en direct chaque jour et en week-end avec au moins deux journalistes pour les journaux et flash du matin du soir + un journaliste qui réalise un max de reportages ? ...

Une grosse radio associative dans le Nord de la France il y a qq années (Canal fm je crois mais pas sûr pour le nom) avait dans son équipe : une dizaine de salariés : journalistes, animateurs, techniciens ...  (bon pas toutes et tous en temps plein  et avec qq contrats aidés dont pourraient bénéficier certaines B d'ailleurs ) budget annuel : 750 000 €  moins de 1 million d'euros .... annuel ... 

Donc l'argument qui repose sur le fait d'avoir le budget de France Bleu pour faire du local... ne tient pas car encore une fois une B n'a pas besoin d'une structure similaire à celle d'une locale FB :  locaux énormes et nombre de salariés (adminsitratif et antenne important : 4 techniciens, 5 animateurs, 5 journalistes (+ ou - selon les locales)).

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Le 31/03/2022 à 11:59, Invité Antitruc a dit :

Désolé mais c’est bien mal connaître la radio que de dire ça !

Une radio c’est un tout et les animateurs en sont les meilleurs représentants. Ceux qui pensent le contraire, rendez vos fréquences SVP !

Une opération terrain si elle n’est pas représentée par des gens de la radio identifié, reconnu et investi, cela ne sert à rien !

Ce n’est pas la durée des speaks qui compte mais d’être bien présent et de partager le même instant et le même lieu de vie. C’est tout l’intérêt d’une musicale privée commerciale locale. 
Pour informer, s’intéresser, s’amuser, s’offusquer, être réactif et vivre ! En étant connecté avec les auditeurs ! 
 

De plus, les opérations terrains étaient bien plus nombreuses en local avant 2010. Preuve que l’argent économisé sur des salariés ne participe pas au succès d’une radio mais de son appauvrissement.

Le voicetrack tel qu’il est utilisé en local c’est de l’anti-radio ! Cela permet juste de combler les trous pour satisfaire le CSA et vendre des écrans pubs à moindre coup ! 

C’est une dérive scandaleuse quand on voit le niveau économique des régies publicitaires qui n’a jamais été aussi élevé aujourd’hui avec une masse salariale des antennes qui n’a jamais été aussi basse. 

Comment peut-on laisser faire un truc pareil ?

Pour compléter ces propos, ainsi que ceux de Augustus, je me pose la question de savoir si l'élargissement permanent des écrans pub ne contribue pas à rendre le marché publicitaire plus difficile en termes de prospection terrain et de vente ?

Il faut trouver toujours plus d'annonceurs, pour remplir des créneaux de temps importants, au risque de faire baisser le prix de la minute de pub... J'évoque cela par rapport aux difficultés rencontrées sur des supports écrits (journaux locaux, périodiques, publications institutionnelles, etc.), que j'ai pu rencontrer par ailleurs :mrgreen:

Est-ce une erreur d'interprétation de ma part ?

Modifié par Lolo54
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