Welcome to Happycratie

[Guest Cyril]

Welcome to Happycratie

 

Avant, il y avait le bien et le mal, aujourd'hui il n'y a plus que le "bien-être", et le "mal-être"...

   

La radio française fait fondre ses rédactions, après avoir été envoyé en reportages pour prendre des photos... les journalistes sont mis "sur le carreau".

 

Mégots, bourreaux, bobos, mégots, bourreaux, bobos...

 

Comme ils étaient beaux les ordinateurs, toujours plus sophistiqués, on se félicitait fort, on se frappait fort sur la poitrine en mesurant sa hauteur, par rapport au commun-des-mortels.

Ils croquèrent la pomme jusqu'aux pépins.

 

A force de gagner du temps, ils ont fini par en perdre à chercher en vain un emploi dans la branche...  

 

Avec leurs tablettes en mains, ils et elles tenaient des discours qu'on aurait taillés dans le marbre si leur mégalomanie avait trouvé résonnance, ils et elles étaient dans la mouise, enchevêtrés dans un buisson-ardu, mais chut, le veau dort encore.

 

Science-fiction :

 

Dans un avenir proche...

 

Ces ordinateurs ont fini par les remplacer, tant ils étaient performants, des logiciels algorithmiques capables de traiter l'information, selon des critères précis, capables de rédiger et de présenter des flashs-infos !

 

Sur "Europe Uno" (Oui la radio a été racheté par un opérateur téléphonique espagnol)  entre 14h et 18h, les émissions ne sont plus présentées par des humains, mais par des animateurs "synthétiques". C'est une machine qui joue les médecins, c'est une autre machine qui anime les deux émissions de "libre-antenne".

Une machine qui donne des leçons d'empathie à l'être humain.

 

Il fallait bien que la station suive le mouvement lancé par la politique, la nomination d'une machine au poste de premier-ministre fait encore débat aujourd'hui, alors que depuis plusieurs ministères ont été entièrement dissous avant d'être automatisés.

 

Fin de la science-friction.

 

"Gouvernés par des machines"

 

Je me souviens mes micros-trottoirs de 2009, 10, 11, 12, les gens riaient fort quand on leur parlait de machines capables de reproduire des tâches humaines complexes, comme un travail de secrétaire.

 

Les plus âgés, ont toujours fait preuve d'une conscience éclairée par rapport à la place que prendraient les machines, ce sont eux qui avaient les vues les plus lucides sur le devenir du pays, du monde, certainement pas les gens de mon âge, les plus jeunes.

 

Dès les années 40, de par le monde, certains évoquaient déjà ce scénario dramatique pour l'humanité telle que nous l'avons toujours connue, en plein essor.

 

Le secteur de la radio a contribué activement à l'emploi excessif, nocif, de la cybernétique

 

Avant d'aller plus avant, renseignez de grâce sur le sens précis du mot cybernétique, ainsi que sur ses origines exactes, merci d'avance...

 

Un emploi excessif, et donc nocif, dont les conséquences sont clairement énoncées par le père-fondateur de la cybernétique, lui-même met en garde contre un recours automatiques à la cybernétique.

 

"Gouvernés par des machines."

Ce titre ne m'appartient pas, le titre d'un article paru dans le journal "Le Monde" en une année ou Europe 1 n'existait pas encore !

S'il était encore de ce monde, le père-fondateur de la cybernétique, tirerait à bien des reprises la sirène d'alerte, sur le frein, pour freiner les ardeurs d'automatisations des décideurs.

 

"La politique (aveugle) du chiffre", dans tous les secteurs d'activités, ou quand l'économie parasite la bonne marche évolutive d'une civilisation.

[RADIOPIRATE]

Tres interessant ce point de vue ....

En dehors des machines, force est de constater que le statut de "journaliste" reste à la peine : à croire que rien n'a évolué depuis la loi Brachard et la deuxieme guerre mondiale n'a rien arrangé.

On nous clame la "liberté d'expression d'une presse dite libre". Dans les faits, elle reste prisonniere de son passé et cadenassée  dans un statut où elle s'est enfermée.