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Radio Cultures Dijon en grande difficulté financière


Gaël01

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Salut tout le monde...

La radio dijonnaise née en 2007 va en effet se tourner vers un dépôt de bilan. En plus des 70 bénévoles, il n'y a plus qu'1 contrat aidé (contre 5 auparavant) mais qui prendra fin en juillet.

https://www.bienpublic.com/edition-dijon-ville/2018/03/06/radio-cultures-dijon-le-president-confirme-le-clap-de-fin

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Invité Tonton réac

Y’en a marre de toutes ces radios associatives incapables de boucler un budget 

1981 c’était il y a bientôt 40 ans 

rendez les fréquences et laissez faire les pros 

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La fin des emplois aidés (CUI-CAE) a effectivement eu un impact pour certaines radios et pas uniquement Radio Cultures Dijon, il y a même certaines radios qui ont du renoncer aux contrats civiques à cause de problèmes budgétaires (souvent dû à la FSER)... Et c'est dommage vu que c'est une radio qui mérite d'exister et j'espère qu'elle ne connaîtra pas le même sort que la défunte VTI...

Le 28/12/2018 à 22:25, Invité Tonton réac a dit :

Y’en a marre de toutes ces radios associatives incapables de boucler un budget 

1981 c’était il y a bientôt 40 ans 

rendez les fréquences et laissez faire les pros 

Ça se voit de suite que vous ne connaissez rien du milieu associative voire même du milieu de la radio comme c'est souvent le cas de certaines personnes qui postent anonymement sur cette libre-antenne (heureusement que ce n'est pas le cas de tout le monde). Et puis si c'est pour se taper la "médiocrité" de certaines radios locale ou régionale du coin (comme Radio Star pour ne citer que celle-ci) dans la cité dijonnaise, j'ai envie de dire "non merci". 

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Il y a 10 heures, Max-Hellraiser a dit :

La fin des emplois aidés (CUI-CAE) a effectivement eu un impact pour certaines radios et pas uniquement Radio Cultures Dijon, il y a même certaines radios qui ont du renoncer aux contrats civiques à cause de problèmes budgétaires (souvent dû à la FSER)... Et c'est dommage vu que c'est une radio qui mérite d'exister et j'espère qu'elle ne connaîtra pas le même sort que la défunte VTI...

Ça se voit de suite que vous ne connaissez rien du milieu associative voire même du milieu de la radio comme c'est souvent le cas de certaines personnes qui postent anonymement sur cette libre-antenne (heureusement que ce n'est pas le cas de tout le monde). Et puis si c'est pour se taper la "médiocrité" de certaines radios locale ou régionale du coin (comme Radio Star pour ne citer que celle-ci) dans la cité dijonnaise, j'ai envie de dire "non merci". 

Une radio associative proche du dépôt de bilan et donc de la disparition, c'est toujours triste.

Néanmoins, il y a une phrase de l'article qui me fait tiquer un peu : "Il remarque également que la radio associative était la seule du genre à ne pas être soutenue par une structure telle que « l’Université pour Radio Campus », ou encore « les institutions religieuses pour RCF ».". On peut ressentir un peu d'aigreur dans les paroles de ce dirigeant qui ne serait pas un peu jaloux de ses confrères ? 
Fonctionner qu'avec des contrats aidés, c'est un gros risque pour une radio associative. Avec la suppression de ces contrats, il y a donc des subventions en moins et de l'activité en moins réalisée par la radio en question. Conséquence : les subventions directement liées à l'activité (ou un peu au fonctionnement comme le FSER) de la radio chutent. C'est typiquement le genre de dirigeant de radio associative qui n'a rien fait (ou pas grand chose) pour remettre sa radio en question afin de la sauver. A sa place, je me serai battu en allant voir, par exemple, les collectivités territoriales pour leur faire part de la situation, en lançant un appel aux dons... A moins que tout cela a été fait et n'a pas porté ses fruits.

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Il y a 4 heures, LaVraieRadio a dit :

Une radio associative proche du dépôt de bilan et donc de la disparition, c'est toujours triste.

Néanmoins, il y a une phrase de l'article qui me fait tiquer un peu : "Il remarque également que la radio associative était la seule du genre à ne pas être soutenue par une structure telle que « l’Université pour Radio Campus », ou encore « les institutions religieuses pour RCF ».". On peut ressentir un peu d'aigreur dans les paroles de ce dirigeant qui ne serait pas un peu jaloux de ses confrères ? 
Fonctionner qu'avec des contrats aidés, c'est un gros risque pour une radio associative. Avec la suppression de ces contrats, il y a donc des subventions en moins et de l'activité en moins réalisée par la radio en question. Conséquence : les subventions directement liées à l'activité (ou un peu au fonctionnement comme le FSER) de la radio chutent. C'est typiquement le genre de dirigeant de radio associative qui n'a rien fait (ou pas grand chose) pour remettre sa radio en question afin de la sauver. A sa place, je me serai battu en allant voir, par exemple, les collectivités territoriales pour leur faire part de la situation, en lançant un appel aux dons... A moins que tout cela a été fait et n'a pas porté ses fruits.

les radios associatives doivent adopter un positionnement clair avec de l'audience, cela ne veut pas dire faire un copié collé d'une B

mais par exemple etre entre du F Bleu et une radio commerciale.

A l'heure des applis, de l'internet c'est quoi d'avoir une frequence fm diffusée sur 30 km pour 1400 € par mois par un diffuseur

et realiser 100 / 200 / 400 / 1000 auditeurs par jour sur un bassin de 300 000 comme Dijon avec la perif ...

autant etre en web radio, les passionnés thematiques de cultures, qui ne sont sans doute pas au rsa auront les moyens

d'ecouter quelque chose de different. Je prefere FIP / Crooner / TSF Jazz / RMC 2 / Couleur 3  a Dijon demain sur la frequence 100 fm qu'une enieme radio A sans ame

faite de bric et de broc, regardez Diversité a Montbard ... ca va dans tous les sens ... on fait comment en etant annonceur pour avoir

un retour sur investissement si on achete de la pub ? à vouloir seduire de 0 à 90 ans on ne seduit personne, à mediter pour les A intellos qui se la jouent ....

Les A se doivent desormais de federer et faire de l'audience, les radios ultra confidentielles, thematiques en tous genres

on n'en veut plus on a mieux et c'est gratuit sur le net ...

Je vous rejoins sur un point le 100 fm ne doit pas revenir a Star une radio VIDE et sans audience (45000 auditeurs / 23 emetteurs / 1m500 000 personnes couvertes)

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Il y a 1 heure, Invité expert a dit :

les radios associatives doivent adopter un positionnement clair avec de l'audience, cela ne veut pas dire faire un copié collé d'une B

mais par exemple etre entre du F Bleu et une radio commerciale.

A l'heure des applis, de l'internet c'est quoi d'avoir une frequence fm diffusée sur 30 km pour 1400 € par mois par un diffuseur

et realiser 100 / 200 / 400 / 1000 auditeurs par jour sur un bassin de 300 000 comme Dijon avec la perif ...

autant etre en web radio, les passionnés thematiques de cultures, qui ne sont sans doute pas au rsa auront les moyens

d'ecouter quelque chose de different. Je prefere FIP / Crooner / TSF Jazz / RMC 2 / Couleur 3  a Dijon demain sur la frequence 100 fm qu'une enieme radio A sans ame

faite de bric et de broc, regardez Diversité a Montbard ... ca va dans tous les sens ... on fait comment en etant annonceur pour avoir

un retour sur investissement si on achete de la pub ? à vouloir seduire de 0 à 90 ans on ne seduit personne, à mediter pour les A intellos qui se la jouent ....

Les A se doivent desormais de federer et faire de l'audience, les radios ultra confidentielles, thematiques en tous genres

on n'en veut plus on a mieux et c'est gratuit sur le net ...

Vous n'avez pas tout à fait tort. Même si je ne suis pas contre la diversité, les radios associatives qui connaissent des difficultés sont clairement celles qui n'ont aucune ligne éditoriale très claire, qui s'adressent à tout le monde en proposant tout et n'importe quoi mais surtout qui dépendent beaucoup de subventions publiques ou d'emplois aidés et refusent la publicité sur leurs antennes.

Celles avec un format et une cible identifiés font de l'audience, diversifient leurs ressources grâce la publicité, utilise du matériel un minimum pro (et pas des logiciels gratuits) et arrivent même à se développer en obtenant des nouvelles fréquences.

Je pense à des radios comme Atomic dans les Hautes-Pyrénées, Imagine dans les Hautes-Alpes, Azur FM en Alsace, Cocktail FM dans les Vosges, Espace en Normandie ... Quand on en entend parler c'est plus pour leurs succès que pour leurs difficultés.

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Hello !

Le problème, d'ordre financier, que les radios A connaissent aujourd'hui pouvait être ancitipé depuis longtemps mais la réticence "d'anciens" responsables de radio associative majeures et certains élus du CNRA qui imposent des critères auprés du FSER, pour bénéficier de subventions , ne correspondent plus ou pas au programme et structure de certaines radios associatives.

Ces mêmes critères, pour les subventions sélectives, dont des actions auprés de certains publics obligent certaines radios a avoir du personnel encadrant hors les critères sont les mêmes pour les radios qui ont 6 chiffres de subventions par an que pour celles qui n'en ont que 5 en résumé on demande  à une radio qui touche  30000 euros de subventions de faire autant d'actions et mettre en place des choses qu'une radio qui en touche 150 000 euros ! Ce n'est pas possible et les critères doivent évoluer ...

Certains membres du CNRA ne veulent pas entendre le fait de relever à 30 % (minimum) le seuil d'autorisation du chiffre d'affaires publicitaires ... En un mot il y a moins de subventions et aucune possibilité d'augmenter le chiffre d'affaires puisque les radios A restent limitées dans leur revenus publicitaires.... Je passerais sur les subventions municipales ou départementales, dans certaines zones, qui ont fondu comme neige au soleil, pourtant les entités publiques ne cessent de demander aux radios associatives de communiquer sur des évènements émanant de Mairies, ... 

Il faut véritblement un nouveau modéle de financement mais encore faut il que les "dinosaures" qui gérent les radios associatives comme il y a 30 ans ouvrent les yeux et arrêtent d'être dans le déni pensant que les subventions seront éternelles ...

Quelques pistes de réflexion : Création de régies départementales ou régionales associatives qui permettraient de négocier une audience globale de l'ensemble des radios adhérentes, à la régie, au contact des acteurs privés et publics - Mutualisation des moyens (personnel techniques, commerciaux, journalistes, animateurs) - Regroupement de certaines radios A (d'une même ville) dans des locaux communs etc... 

 

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Il y a 3 heures, Invité expert a dit :

les radios associatives doivent adopter un positionnement clair avec de l'audience, cela ne veut pas dire faire un copié collé d'une B

mais par exemple etre entre du F Bleu et une radio commerciale.

A l'heure des applis, de l'internet c'est quoi d'avoir une frequence fm diffusée sur 30 km pour 1400 € par mois par un diffuseur

et realiser 100 / 200 / 400 / 1000 auditeurs par jour sur un bassin de 300 000 comme Dijon avec la perif ...

autant etre en web radio, les passionnés thematiques de cultures, qui ne sont sans doute pas au rsa auront les moyens

d'ecouter quelque chose de different. Je prefere FIP / Crooner / TSF Jazz / RMC 2 / Couleur 3  a Dijon demain sur la frequence 100 fm qu'une enieme radio A sans ame

faite de bric et de broc, regardez Diversité a Montbard ... ca va dans tous les sens ... on fait comment en etant annonceur pour avoir

un retour sur investissement si on achete de la pub ? à vouloir seduire de 0 à 90 ans on ne seduit personne, à mediter pour les A intellos qui se la jouent ....

Les A se doivent desormais de federer et faire de l'audience, les radios ultra confidentielles, thematiques en tous genres

on n'en veut plus on a mieux et c'est gratuit sur le net ...

Je vous rejoins sur un point le 100 fm ne doit pas revenir a Star une radio VIDE et sans audience (45000 auditeurs / 23 emetteurs / 1m500 000 personnes couvertes)

C'est que vous auriez presque raison, àl'exception du fait que les thématiques ont encore une place à jouer en misant à la fois sur la diffusion FM et le net.

Les radios que vous citez, sont bien sûr écoutables sur le net, mais elles s'en tirent par la diffusion hertzienne pour la majorité de celles évoquées. FIP et Couleur3 sont particuliers car financés par les deniers publics, tandis que Crooner parvient à s'en sortir avec une diffusion DAB+ (confidentielle en termes d'audiences j'imagine).

Donc il faut garantir une diversité en diffusion hertzienne afin de garantir une visibilité publicitaire et des moyens aux radios que la plupart des gens déclarent écouter sur le net. C'est tout le paradoxe du schéma qui se dessine pour l'avenir de la radio.

À chaque fois qu'une antenne ferme, sans partir dans des considérations sur celui qui reprend la fréquence, ce sont des gens à qui on enlève un moyen s'exprimer localement... Ça nous ramène à tout ce qui se passe autour des rond-points à travers le pays. On imagine tout pouvoir uniformiser, même les radios locales que l'on pourrait recevoir des confins de la Bretagne au Nord de la Gironde en passant par le Limousin ou le Poitou... Où est la cohérence si elle n'est pas que purement financière ? C'est trop souvent la vision développée par "les pro de la radio" qui n'en n'ont rien à foutre des attentes des auditeurs (à comparer avec ces dirigeants d'associatives sur le retour dénoncés par ces mêmes professionnels).

Bref, quelle que soit la radio qui s'éteint il n'y a rien de réjouissant à ce que cela se passe ! D'autant qu'on sait ce que l'on perd (pas grand chose dirons certains) et que l'on ne sait pas ce que l'on gagne derrière (possibilité de moins que rien répondront d'autres en prenant Radio Star comme exemple).

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Il y a 2 heures, Prunelle a dit :

Vous n'avez pas tout à fait tort. Même si je ne suis pas contre la diversité, les radios associatives qui connaissent des difficultés sont clairement celles qui n'ont aucune ligne éditoriale très claire, qui s'adressent à tout le monde en proposant tout et n'importe quoi mais surtout qui dépendent beaucoup de subventions publiques ou d'emplois aidés et refusent la publicité sur leurs antennes.

Celles avec un format et une cible identifiés font de l'audience, diversifient leurs ressources grâce la publicité, utilise du matériel un minimum pro (et pas des logiciels gratuits) et arrivent même à se développer en obtenant des nouvelles fréquences.

Je pense à des radios comme Atomic dans les Hautes-Pyrénées, Imagine dans les Hautes-Alpes, Azur FM en Alsace, Cocktail FM dans les Vosges, Espace en Normandie ... Quand on en entend parler c'est plus pour leurs succès que pour leurs difficultés.

Je plussoie !

Il y a aussi des radios qui ont un format clair, une cible identifiée, qui diversifient leurs ressources autrement que par la publicité sans forcément obtenir de nouvelles fréquences et qui s'en sortent. Il suffit juste de se poser les bonnes questions, savoir se repositionner quitte à bousculer sa ligne éditoriale et se donner les possibilités de le faire. Ne dépendre que de fonds publics est une énorme erreur et condamne les radios concernées dans un futur plus ou moins proche. Mais encore faut-il que les dirigeants de 1981, qui sont encore en poste pour certains, voient leur mentalité évoluer pour voir leur projet de départ perdurer.

Quant à "expert" qui est intervenu plus haut, on ne parle pas forcément d'audience. L'audience ne fait pas les fonds qui sont nécessaires pour faire fonctionner une radio A. Et heureusement, car beaucoup de radios A n'auraient pas grand chose pour fonctionner... C'est surtout le projet, la ligne éditoriale qui font que les collectivités ou d'autres partenaires soutiennent une radio associative. Et il faut maintenant que certains dirigeants de radios A se creusent la tête pour trouver d'autres ressources et dépendre un peu moins de subventions publiques.

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il y a une heure, Oldschoolspeaker a dit :

Hello !

Le problème, d'ordre financier, que les radios A connaissent aujourd'hui pouvait être ancitipé depuis longtemps mais la réticence "d'anciens" responsables de radio associative majeures et certains élus du CNRA qui imposent des critères auprés du FSER, pour bénéficier de subventions , ne correspondent plus ou pas au programme et structure de certaines radios associatives.

Ces mêmes critères, pour les subventions sélectives, dont des actions auprés de certains publics obligent certaines radios a avoir du personnel encadrant hors les critères sont les mêmes pour les radios qui ont 6 chiffres de subventions par an que pour celles qui n'en ont que 5 en résumé on demande  à une radio qui touche  30000 euros de subventions de faire autant d'actions et mettre en place des choses qu'une radio qui en touche 150 000 euros ! Ce n'est pas possible et les critères doivent évoluer ...

Certains membres du CNRA ne veulent pas entendre le fait de relever à 30 % (minimum) le seuil d'autorisation du chiffre d'affaires publicitaires ... En un mot il y a moins de subventions et aucune possibilité d'augmenter le chiffre d'affaires puisque les radios A restent limitées dans leur revenus publicitaires.... Je passerais sur les subventions municipales ou départementales, dans certaines zones, qui ont fondu comme neige au soleil, pourtant les entités publiques ne cessent de demander aux radios associatives de communiquer sur des évènements émanant de Mairies, ... 

Il faut véritblement un nouveau modéle de financement mais encore faut il que les "dinosaures" qui gérent les radios associatives comme il y a 30 ans ouvrent les yeux et arrêtent d'être dans le déni pensant que les subventions seront éternelles ...

Quelques pistes de réflexion : Création de régies départementales ou régionales associatives qui permettraient de négocier une audience globale de l'ensemble des radios adhérentes, à la régie, au contact des acteurs privés et publics - Mutualisation des moyens (personnel techniques, commerciaux, journalistes, animateurs) - Regroupement de certaines radios A (d'une même ville) dans des locaux communs etc... 

 

Le problème est bien là : certains responsables de radios associatives gèrent leur structure comme il y a 20 ou 30 ans lorsque le FSER tombait aussi facilement que les aides publiques.

Aujourd'hui, les critères du FSER sont plus contraignants et les aides publiques de plus en plus faibles. D'ailleurs soyons honnêtes, les élus locaux ont d'autres priorités que de financer des radios locales qui ont une audience confidentielle et qui sont tenues par un même clan depuis la nuit des temps.

Comme vous le dîtes, le relèvement du plafond pour la publicité et la mutualisation de certains coût sont de très bonnes pistes (en Haute-Vienne par exemple, les radios associatives mutualisent les informations locales en diffusant toutes le même journal).

Mais cela implique un virage à 180° pour certains.

 

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